Collection Folle Du Cul. Douceur Rudesse, Rudesse - Tendresse (3/3)
Il y a trois ans que jai épousé Marc, jeune homme de 25 ans, venant de finir ses études.
Il a trouvé un poste dinstituteur à Marseille dans les quartiers nord, notre maison est à Aubagne.
Cest là que je reçois la visite dun garçon plus vieux que mon mari.
Je découvre qui est cet homme, cest le frère aîné qui sort de prison après un braquage à main armée à La Ciotat.
Il fait de moi sa maîtresse et va plus loin que ça.
Un braquage, un braquage certes seulement comme pilote de la première voiture volée puis une deuxième que nous avons récupérés dans une grange.
Georges le frère aîné de Marc est un vrai pro surtout quand je vois la grange exploser quand nous revenons vers la ville.
De retour sans encombre chez lui, dès la porte franchie nous nous étreignons.
Nos corps sont pleins d'adrénalines dégagées par nos glandes lors de la tension de notre braquage.
Avec Marc, je baise classique, là Georges me prend sous les bras me soulève et écartant ma culotte me plante directement.
Je sens mon corps se liquéfier non pas à cause de la chaleur mais par cette verge qui une nouvelle fois caresse mon utérus.
Je sais, je rentrais vers Marseille afin que Marc me retrouve sagement chez nous.
Cette porte franchie chez lui, cest au retour de lattaque dun agent de change quil me prend et que jai une jouissance rene par laction que nous venons de faire.
Il est onze heures, Marc est à son école et mange à la cantine.
Quand jai joui sans me lâcher, il me conduit sur son lit où nous recommençons alors que je suis en levrette.
Après ces actions, mon corps a besoin de ce sexe qui me subjugue, ma chatte coule et il entre en moi sans problème tellement ma cyprine sort de mon corps.
- Georges, jai senti ton feu quand tu me prenais derrière la porte, tu me le montres.
Mon homme, car lhomme, la bête cest lui se penche et récupère dans son holster sa pétoire.
Je le prends en main, cest lourd mais on sent toute sa puissance.
- Cest beau un revolver, mais cest lourd.
- Non cest un automatique 9 millimètres, un revolver cest dans les films de cow-boys que tu en vois.
- Pan, dans ta bite.
Eunuque !
Pan dans ma chatte, ha !
Plaisir suprême quand la balle atteint mon utérus.
- Arrête de déconner avec cette arme, jai mis le cran de sécurité, théoriquement on na rien à craindre mais un coup est si vite parti.
- Georges, jaime tattendre au volant quand tu braques, tu las constaté quand tu mas pris à notre retour, mais je veux plus, je veux être à tes côtés quand tu tires son coup de feu.
Si tu savais comme je lattends, aujourdhui quand tu as tiré jai été à deux doigts de jouir.
À côté de toi, je suis sûr que nous serons plus fusionnelles.
- Ma pauvre fille, ce que tu fais cest déjà primordial pour moi, tu assures mes arrières.
- Tu as une arme moins lourde pour moi, je vais braquer une banque pour voir ce que tu ressens sur place.
- Tu es folle, des armes jen ai dans le bas de cette armoire.
Ce sont celles de lattaque de La Ciotat.
Il se lève prestement me montrant sa plastique parfaite dun homme qui sentretient comparé à son frère qui malgré quil soit plus jeune commence à sempâter.
- Tiens, tu parlais de revolver, en voilà un.
Petit et mignon, il tire des balles qui peuvent faire aussi mal que mon Beretta.
Il vient se recoucher, je monte sur lui sa queue reposant sous mon sexe.
- Monte un coup comme tu sais faire, à deux, avec une échappatoire sans avoir besoin que nous repartions en voiture.
Voilà le fruit est dans le ver, jai mon arme que je cache chez moi.
- Juliette, je taime bien, tu es la première femme avec laquelle jaurais envie de faire ma vie, mais tu es la femme de mon frère.
- Quand tu me baises, les scrupules tu les balayes par tes coups de bite.
- Tu as raison, une seule attaque de toute façon, ce sera le dernier coup, les flics sont cons mais ils savent enquêter.
Javais décidé de quitter le coin.
Cest fait, jai définitivement basculé quand nous approchons du Crédit du Nord dans le centre de Marseille.
Jai la parfaite panoplie du braqueur.
Cest moi qui bloque le sas pour que Georges entre avec moi.
- Tout le monde à terre cest un hold-up.
Cest moi qui crie cette phrase en dirigeant mon arme vers le plafond et en tirant un coup.
Pour tirer un coup, je tire un coup, mon dieu que la sensation de puissance que je ressens est grand.
Ma chatte est au sommet de ce quelle peut ressentir.
Un agent de sécurité met sa main à son pistolet, je tire.
Jai le temps de voir que cet homme a un il supplémentaire au milieu des deux autres.
Je continue comme prévu et je monte sur le comptoir.
Jaimerais que vous soyez à ma place quand je vois la caissière mettre des liasses de billets dans le sac que je lui ai envoyé.
Elle me le tend, je le saisi et je le balance à mon amant qui tient les clients en joue.
Prestement je saute au sol et nous ressortons.
Georges au moment où jai bondi pour investir la banque avait bloqué les portes et nous ressortons sans sêtre fait piéger.
- Pauvre conne pourquoi as-tu tiré, on est dans la merde maintenant.
Viens, suis-moi.
Il sapproche dune Mercedes et ouvre la porte.
Nous sommes à 50 mètres de la banque.
Encore une opération bien préparée il a dû voler la voiture et la placer là hier ou avant-hier.
Je le dis, cest un pro.
- Tu men veux, il allait sortir son arme.
- Une simple menace verbale aurait suffi.
- Ce sont des pleutres, aucun de ceux que jai connus dans la même situation est allée jusquau bout de son geste.
- Tu men veux.
- Non, cest ma faute, jaurais dû te prévenir que ce vigile armé risquait dêtre là.
Je lui pose ma main sur la braguette pendant quil conduit, il bande.
- Laisse-moi te sucer, ton sexe est à létroit.
Il ce dégrafe et sort le but de ce braquage, son sexe, nos sexes.
Quand on a goûté au plaisir qui monte en vous quand vous passez à laction comme toute à lheure votre sexe et votre cerveau sont alignés et la jouissance est décuplé.
Jouvre moi aussi le jean que javais mis pour avoir plus de facilité pendant lattaque.
Il lève le bras, je plonge sur sa verge alors que ses doigts viennent caresser ma chatte.
Jignore où nous allons car la seule chose que jai devant les yeux le morceau qui a fait basculer ma vie.
Je suis sa salope et si demain dans la cavale que mon geste sur le vigile va entraîner, je suis prête à faire la pute pour lui.
- Dépêche on est arrivé !
Une dernière branlette, je sens son sperme monter vers ma bouche alors que ses doigts me font éclater comme jamais.
Il me dirait on y retourne, cest en courant que je recommencerais ces moments divins de laction.
Il me remplit la bouche, la voiture décélère.
Je lève la tête.
On se trouve au bas de chez lui.
- Mets-toi au volant, je reviens.
Il me quitte pendant que je remets mon jean et redescend rapidement.
- Ce sont les armes et le butin de nos braquages.
À cause de ce que tu as fait, il me reste une chose à faire alors que je pensais attendre encore quelques mois.
Conduis-nous chez mes parents, on a de la chance, ils sont au Portugal, jai les clefs.
Je connais bien le chemin, ils habitent non loin de chez nous.
- Attends, je reviens.
Pendant son absence, je sors mon arme, comment un si petit objet a-t-il pu faire cet oeil à ce vigile.
Lodeur de la poudre est encore là.
Je recommence à mouiller, vivement que nous soyons en tête à tête.
Jai aimé le sucer et ses doigts dans mon con, mais jen veux plus dès que nous serons là où il veut memmener.
Devant moi une camionnette est là, alors que je me caresse la poitrine avec mon arme.
Mes seins sont tout bandés à men faire mal.
Je vois Georges sortir de chez mes beaux-parents avec deux gros sacs de sport.
Il ouvre la portière arrière.
- Cest le butin du casse de La Ciotat.
Je lavais caché chez mes parents avant dêtre arrêté.
Je vois les portes de la camionnette souvrir et deux hommes armés en sortir.
- Lève les mains Georges sinon on tire.
Ça va vite, Georges a dû sortir son 9 millimètres et tirer entrainant un tir de riposte des policiers qui planquait devant chez mes beaux-parents.
Sans ménagement il m'extrait de la voiture sans quils me tirent dessus.
Je suis plaquée au sol mon visage est à 50 centimètres du visage de ce qui avait été mon amant.
Ses jolis yeux montrent quil a mangé son bulletin de naissance.
Voilà, combien ?
Combien pour des braquages à mains armés.
Combien pour la mort du vigile aux trois yeux.
Je lignore.
Ce que je sais cest que pendant de nombreuses années il va falloir que japprenne à remplacer les bites par des chattes à sucer.
Mais ce moment de vie valait bien ce sacrifice.
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